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HISTORIQUES

Découvrez dans les deux articles qui suivent les débuts du basket et les premiers pas de notre club

 

Comment est né le Basket... il y a 108 ans !

« Tu es un ballon avec qui s'amuse le Destin, car Dieu qui joue avec des ballons sans volonté, tire depuis mille années auprès du panier ». Cette pensée d'un philosophe persan du douzième siècle, Omar Kayyam, a peut-être inspiré M. James Naismith lorsqu'il inventa le basket-ball en 1891. S'il n'est peut-être pas d'origine divine, le basket-ball est tout de même né dans une école chrétienne : l'International Young Men's Christian Association de Springfield, État du Massachusetts.

Cette année-là, l'hiver est particulièrement rude dans le Nord-Est des Etats-Unis. Les terrains de sport, recouverts de neige, empêchent la pratique du football américain.

Les étudiants de Springfield s'ennuient dans les gymnases de l'école.

« Un, deux, trois, quatre ! »

« Un, deux, trois, quatre ! »

Le rythme monotone de la gymnastique suédoise n'incite guère les élèves à développer leur corps. Le Directeur du Collège, le Docteur Gulick est inquiet. Ce n'est pas ainsi qu'il formera des athlètes, qu'il intéressera les jeunes gens au sport. II convoque alors un professeur de trente ans, M. James Naismith et lui demande d'inventer un jeu collectif qui puisse se pratiquer dans un gymnase. La légende affirme que James Naismith établit les règles d'un nouveau sport en une seule nuit.

II avait auparavant tenté quelques expériences avec ses élèves. Le professeur canadien essaya tout d'abord d'adapter à une salle les sports de plein air, tels le football, le rugby ou la crosse. Mais l'exiguité du champ de jeu entraînait des bagarres, des blessures. Il décida donc d'innover, de créer un jeu en partant de certains principes. Pasteur protestant non violent - il était opposé à la brutalité du rugby américain - il décida de favoriser l'adresse au détriment de la force. « J'ai créé le basket-ball » a écrit plus tard Naismith « avec la notion chrétienne de l'amour du prochain, pour que les jeunes puissent y mettre, toutes leurs forces et tout leur cœur, tout en gardant constamment le contrôle de leurs réactions, sans les excès qui en feraient un instrument du Diable ».

Dans cet esprit, il interdit tous contacts entre les joueurs et pour les éviter, stipula qu'il ne serait pas possible de courir avec le ballon. Pour faciliter la transmission de la balle, il la choisit légère et de forme sphérique et décréta que l'usage des pieds - jugé trop dangereux - serait interdit.

 

UN BUT « ELEVE »

Ces premières règles établies, il fallait trouver un but, motivation de tous les sports collectifs. Déposer la balle derrière une ligne, cela rappellerait trop le football américain et risquerait d'entraîner des heurts entre l'attaquant et le défenseur.

C'est alors que M. Naismith pensa à ce qui allait devenir l'originalité du basket-ball et même lui donner son nom: le ballon serait envoyé dans une caisse, un panier. Ce but serait élevé, conformément à la morale chrétienne, et ne pourrait être atteint que par une trajectoire en cloche, dans le souci de favoriser l'adresse. D'où l'idée de l'accrocher à la galerie qui entourait le gymnase à quatre mètres du sol.

 

Inventer, c'est presque toujours imiter. Bien qu'il ne l'ait jamais avoué, M. Naismith semble s'être inspiré d'un jeu qui se pratiquait sur la place de son village : « Le Canard sur le Rocher ». Ce jeu canadien consistait à faire tomber une pierre placée sur un rocher, avec une autre pierre. « Le canard sur le rocher » a sans doute été importé au Canada par des émigrants basques car il ressemble beaucoup, comme nous le verrons plus loin, à la «Cauderole » des pâtres basques.

Il se peut aussi que M. James Naismith inventa la « balle au panier », par hasard, après qu'il eût jeté ses nombreux projets roulés en boule dans une corbeille à papiers.

Ayant enfin trouvé la solution au problème posé par son Directeur, M. Naismith rédigea les premières règles de ce nouveau sport et les afficha à la porte du gymnase.

 

LES PREMIERES REGLES

 

  • Le nouveau jeu doit se pratiquer avec un ballon léger de forme sphérique.

  • Les joueurs pourront se déplacer sur le terrain de jeu.

  • Le nombre de joueurs n'est pas limité.

  • Le but du jeu est de placer le ballon dans les paniers situés en hauteur de chaque côté du terrain.

  • Il est interdit de courir avec le ballon.

  • Il est interdit de le frapper avec les pieds.

  • Tout contact avec un adversaire est interdit.

 

Les élèves de ce professeur inventif eurent le privilège de pratiquer le nouveau sport pour la première fois. Comme ils étaient 18, la première rencontre se joua à 9 contre 9 : 3 avants, 3 centres, 3 arrières dont un gardien de but.

C'est Stebbins, l'économe du Collège qui se chargea de procurer les buts : deux cageots de pêches que l'on accrocha aux extrémités de la salle. Personne n'ayant encore pensé à en découper le fond, une échelle était nécessaire pour récupérer le ballon. Et c'est ainsi que dix huit jeunes gens entrèrent dans l'histoire du sport en pratiquant pour la première fois en décembre 1891 un jeu, qui, quelques décennies plus tard, allait devenir le premier sport mondial sous le nom de basket-ball.

C'est William R. Chase de New Bedford qui réussit le seul panier (on disait alors but) de la rencontre. Ce tir historique fut marqué du milieu du terrain.

 

LES PREMIERS BASKETTEURS

 

Les équipes qui disputèrent la première rencontre de basket-ball décembre 1891 à Springfield.

Équipe A : Layman Archibald, William Chase, William Davis, Eugène Libby, Finlay Mac Donald, Frank Mahan, Duncan Patton, Edwin Ruggles, John Thompson

Équipe B : Franklin Barnes, Wilbert Carey, Georges Day, Henri Gelan, Ernest Hildner, Genzabaro Ishikawa, Raymond Kaighn, Georges Weller

 

Tout de suite ce nouveau jeu connût un grand succès. Finies les mornes séances de gymnastique. Grâce à M. Naismith, les étudiants pouvaient désormais s'amuser tout en exerçant leur corps.

Il restait maintenant à trouver un nom à ce nouveau sport. Les élèves de sa classe, reconnaissants, suggèrent de lui donner le nom de son inventeur : « Naismith Ball ». Modeste, le professeur refusa. C'est alors que Frank Mahan, chef de classe, prononça cette phrase historique : « We have a basket and a ball, Why not call it Basket-Ball ». « Nous avons un panier et une balle. Pourquoi ne pas l'appeler « Basket-Ball ». C'était simple, mais il fallait y penser. Ainsi naquit le basket-ball moderne, en décembre 1891, au collège de Springfield dans le Massachussets.

 

Basket-Ball ou Basketball

Ce sont les élèves de M. Naismith qui ont baptisé le jeu inventé par leur professeur : Basket-ball.

Dans presque tous les pays du monde, ce terme a été traduit dans la langue du pays. C'est ainsi que les Espagnols pratiquent le « Baloncesto », les Italiens le «Pallacanestro», les Canadiensfrançais la « balle au panier »

Traditionnellement, les Français ont conservé l'appellation anglaise, mais en l'écrivant en deux mots : Basket-Ball alors que les Américains l'orthographient en un seul mot : Basketball.

Or la syntaxe anglaise exige que le mot désignant l'objet soit placé en opposition et après le mot qui le qualifie.

Basket étant l'adjectif de ball, ce sont les Français qui ont raison de l'écrire en deux mots.

Pour parachever son oeuvre, M. James Naismith publia dans le journal du collège les treize articles du premier règlement officiel du basket-ball.

Le premier règlement établi par James Naismith

Article 1 : le ballon utilisé est un ballon de forme sphérique.

Article 2 : le ballon peut-être lancé dans n'importe quelle direction avec une ou deux mains.

Article 3 : le ballon peut-être « claqué » dans n'importe quelle direction, avec une ou deux mains.

Article 4 : les joueurs n'ont pas le droit de courir en tenant le ballon. Ils doivent le relancer de l'endroit même où ils l'ont attrapé. Une certaine tolérance peut-être accordée au joueur qui reçoit le ballon, s'il est en pleine course.

Article 5 : le ballon peut être tenu dans une seule main ou dans les deux. Il est interdit de se servir des bras et du corps.

Article 6 : il est interdit de donner des coups d'épaule à un adversaire, de le retenir, de le pousser ou de lui faire des crocs-en-jambe. Toute infraction à cette règle entraîne une faute. En cas de récidive, le joueur fautif sera exclu jusqu'à ce qu'un panier soit marqué.

Si l'intention de frapper l'adversaire est évidente, le fautif sera exclu pour toute la partie et ne sera pas remplacé.

Article 7 : frapper le ballon avec le poing est une faute punie de la même façon qu'une brutalité envers un adversaire.

Article 8 : un but est marqué lorsque le ballon a été lancé dans le panier et qu'il y est resté, sauf si les défenseurs en ont modifié la trajectoire. Si le ballon reste au bord, le but sera accordé si un défenseur fait bouger le panier.

Article 9 : après chaque sortie du terrain, le ballon sera remis enjeu par le premier joueur qui s'en emparera. En cas de discussion, l'arbitre le remettra enjeu en le lançant droit devant lui. Le joueur qui s'est emparé du ballon, sans contestation, dispose de cinq secondes pour le remettre enjeu. Passé ce délai, il devra remettre le ballon à un joueur de l'équipe adverse. Tout retard volontaire sera sanctionné d'une faute.

Article 10 : le marqueur surveille les joueurs et assure la comptabilité des fautes. Lorsqu'un joueur s'est rendu coupable de trois fautes successives, le marqueur en avertit l'arbitre : le fautif peut alors être disqualifié.

Article 11 : l'arbitre est entièrement juge du jeu. C'est lui qui décide seul, des remises en jeu et des points marqués.

Article 12 : la partie est divisée en deux périodes de quinze minutes, coupées d'un repos de cinq minutes.

Article 13 : l'équipe qui marque le plus grand nombre de paniers est déclarée gagnante. En cas d'égalité, la partie peut se poursuivre, avec l'accord des deux capitaines, jusqu'à ce qu'un panier soit réussi.

 

 

 

 

Biographie de James Naismith

 

1861 : Naissance de James Naismith à Almonte dans l'Ontario (Canada). Fils de John Naismith et Margaret Young.

1867-1875 : Etudes primaires à Bennie's Corner. Almonte.

1875 : Etudes secondaires à Almonte.

1877: Abandonne ses études pendant quatre ans. Obtient son diplôme en 1883.

1883: Etudes supérieures à l'Université Mac Gill de Montréal. Obtient son diplôme de bachelier en Art. Pratique l'athlétisme, la crosse, la gymnastique, le football et le rugby.

1887 : Entre au collège presbytérien de Théologie de Montréal. Obtient son diplôme en 1890. Travaille comme instructeur d'éducation physique à l'Université Mac Gill.

1890-1895 : professeur à l'International Y.M.C.A. de Springfield, Massachussets (U.S.A.)

 

Histoire de la SCC / 1920-1946...

La Saint-Chartes de Charenton fut créée en 1920 à... Alfortville. L'abbé BONDE et le Docteur MÉNISSIER, pour occuper les jeunes dans la cour du patronage, vont créer une société de gymnastique avec une section Basket. Cette section va rapidement se développer; des équipes de jeunes vont participer aux différents Championnats et la Saint-Charles va commencer à faire parler d'elle:

1930 : Les Cadets deviennent Champions de Paris (et Fabrice n'est pas encore né... NDLR).

1932 : C'est la révélation! En battant le CS Plaisance 35-32, la Saint-Charles devient Champion de France Honneur FFBB.

A partir de cette date et pendant 15 ans, l'équipe fanion va devenir un des bastions du Basket Parisien et Français :

Les joueurs:

André Sève, Maurice Réaubourg (tous deux Internationaux), Robert BLAIRON (qui fut Président jusqu'en 1978), Chesnoy, Hivard, Delayre, Nocher, Jules Bolotny qui subit une amputation de la jambe en 40 au service de la Nation, Schoebel, Vincentini,...

Les Championnats:

- Championnat de France FFBB : 3ème en 1933 et 1935, 2ème et  3ème en 1942 & 1943 (Zône occupée).

- Championnat de France FGSPF (Patronage); Vainqueur en 1933, 34, 38, 39, 42, 43, 44, finaliste en 1937, 1/2 finaliste en 45 et 46.

Si les années 32 à 34 furent très bonnes pour la Saint-Charles, ce sont surtout les années 42 à 43 qui vont consacrer la Saint-Charles d'Alfortville comme l'une des meilleures équipes du Basket Français.

 

Histoire de la SCC / 1946-1960

Cette période fut très difficile. A la sortie de la guerre, il ne reste plus que quelques anciens: Sève, Schoebel, Blairon, P.Chapuis ainsi que quelques jeunes vont rejoindre l'effectif. La cour du patronage ne leur est plus allouée, les anciens s'arrêtent et la descente dans la hiérarchie du Basket s'annonce.

Changement de terrain, nouveaux joueurs, "après la pluie, le beau temps", l'équipe fanion va commencer à remonter la pente.

En 1955 la St-Charles enlève le titre de Promotion d'Excellence et remonte en Honneur Nationale équivalent de la N3 actuelle.

 Les joueurs: Lepront, Lejart, Levaillant, Inayetian, Morance, Cozette, auxquels d'autres bons juniors viendront s'adjoindre: Robert, Femandez, Thomas, Mamas.

 En 1958, la St-Charles qui organise un tournoi international invite l'équipe du STEAU  BUCAREST. Après le tournoi, deux joueurs de cette équipe décident de rester en France : Alex Mihalescu et Jean Borcescu. La St-Charles et Robert BLAIRON vont les adopter. Ils seront rejoints en fin d’année par Florian Cucos, géant de 2m04 et Stéphane Hategan après des aventures rocambolesques.

Avec l'aide de ces joueurs, la St-Charles va remporter en 1959 le titre de Champion de France Honneur. En 1960, la St-Charles est en Excellence (N2 actuelle), mais la saison s'achève sur une tragédie: En revenant d'un tournoi dans les Vosges, la voiture des Roumains est accidentée, BOCESCU et MIHALESCU sont tués dans l'accident... Hategan est sérieusement blessé et la Saint-Charles déclarera forfait en ½ finale tout en accédant à la Nationale 1

 

Histoire de la SCC / 1960-1972

Après une fusion avec le Michaël Club de Charenton, la Saint‑Charles d'ALFORTVILLE - CHARENTON est née.

C'est un nouveau pas dans l'avancée du Club qui espère ainsi plus de moyens et une salle qui lui est promise.

Grâce à l'impulsion de Louis CAUDRON, conseiller municipal, la section féminine est créée. Les matches des jeunes ont lieu sur le terrain de Basket situé dans le square face à la Mairie et qui aujourd'hui est occupé par le tennis. L'équipe fanion joue à la porte de CHARENTON (Léo Lagrange) ou à JAPY.

1961 : Nationale 1 ‑ 5ème de la poule B (5 victoires /14 matchs), le tandem Cucos-Hategan fait des ravages bien aidé par Jacky Renaud (qui deviendra international lors de son passage au PUC), Jean Robert et  Pierre Fernandez . Maurice Landrivon, Robert Morancé et Arsène Mamas complètent ce groupe qui aura évolué avec succès au plus haut niveau national atteint par la Saint-Charles.

1962 : Nationale 1 - 10ème et dernier de la poule A (6 victoires/18)

1963 : Nationale 2 - 1/2 finaliste, 1er de la poule B (15 victoires/18). Refonte du championnat  qui prive l’équipe d’une remontée.

1964 : Nationale 2 ‑ 4ème d’une poule unique (12 victoires, 2 nuls / 22), Arrivée du premier américain de l’histoire à Charenton : Leroy-Johnsson qui finit meilleur marqueur du championnat.

1965 : Nationale 2 ‑ 12ème poule unique (2 victoires, 1 nul /22)

Une refonte complète des Championnats nous replace en 1966 en N1, mais l'équipe composée de jeunes (Auguste et André Fernandez, Roland Mayeux, Patrice Gloria, Claude Souchard, Patrick Hervy) avec Hategan, Mamas et Landrivon manque de taille et d'expérience, termine dernier de la poule D avec O victoire et va se retrouver en N2 en 1967, 7ème poule B (7 victoires/18) et en N3 de 1968 à 1972.

 

                                                                Histoire de la SCC / 1973 – 1983

Alfortville a recréé un club de basket : le C.O Alfortville. La St‑Charles est à CHARENTON, elle a une salle, elle essaie de s'adapter au nouveau basket. Elle retrouve la N2 en 1973 (présence d’un américain James Nielsen), redescend en 1974.

Beaucoup de joueurs vont passer en équipe fanion avec Jean ROBERT comme entraîneur, on note les débuts de Dominique Moglia, la présence de Bernard Doll, de Jean-Pierre Gallo, figures du basket Val-de-Marnais.

En 1975, elle retrouve sa place en N2, l’équipe est composée de:

Olivier VEYRAT, Claude BOLOTNY, Jean-Pierre BALDWIN qui feront une brillante carrière sous d’autres cieux, François Corret, Dominique Moglia (Doudou pour les intimes!), Pat Gloria, Patrice Fournier, Jacques Waronski renforcés par deux américains : Wilson Holley et Léon William.

1976 : 3ème Poule A Nationale 2. . Sous la direction de Maurice LANDRIVON – arrivée de Jacques Goupil et de Craig LIEDER américain bien intégré et fidèle qui passera 6 saisons à Charenton.

1977: 5ème Poule A Nartionale 2. –

1978: Vainqueur de la coupe FSCF. Poule A de Natinale 2 ‑ 1978: Adieu Président BLAIRON le bien‑aimé, la présidence est confiée à Stéphan HATEGAN.

1979 :4ème Poule A Nationale 2. Vainqueur de la coupe FSCF.

1980 : Poule B de N 2 . Commence alors une décennie difficile pour le Club: Nous redescendons en N3.

1981 : 1er Poule D N3 Finaliste du Championnat de France. On remonte en N2. Thierry Maîtrejean, Christian Ricard, Didier Fugaccia, et l’américain Leroy Chalk rejoignent l'équipe.

1982 : 10ème Poule A N2. On redescend en N3, tout en étant vainqueur de la Coupe FSCF.

  

Histoire de la SCC / 1983 – 1994

1983 : La direction du groupe est désormais confiée à Marc Pigelet.

Arrive Peter Ciak un international polonais de 2,18 m qui formera une paire de centres avec Lieder qui permet à l'équipe de finir premier de la Poule F et donc de remonter en Nationale 2, mais surtout de jouer la Finale du Championnat de France Nationale 3 finale perdue devant OS Hyères. Un nouveau arrive : Francis Crespin.

L'équipe ira également en 1/4 de finale de la Coupe de France F. F. B. B.

Une ombre à ce tableau idyllique : les décès de Stéphane Hategan et de G. Schwoebel. Maurice LANDRIVON prend la présidence du club, Pierre Moglia, Directeur sportif arrête ses fonctions.

1984 : Arrivée de Skeeter Jackson, qui fera une brillante carrière professionnelle et sera selectionné en Equipe de France après sa naturalisation . Malgré ce renfort, l'équipe ne peut se maintenir en Nationale 2 et finit onzième de la Poule B , sans avoir démérité, mais le départ de Peter Ciak n’a pu être compensé.

1985 : Troisième de la Poule F en Nationale 3, la première est Saint Quentin, l’américain de service est Gregory Johns 

1986 : Daniel BOUCHOT est le Président. Création du centre de Perfectionnement avec Gérard Bosc qui accepte de diriger l'équipe. Arrivée de Marc Van Bustele, de Roland Mateu et du canadien John Christianssen . Résultat : troisième de la poule E .

1987 : 2ème de la Poule D de Nationale 3 sous la direction de Bernard Grosgeorges assisté de Michel Longuet.

Une victoire en barrage nous donne accès à la Nationale 2.

Marc PIGELET est nommé président du club.

1988 : Douzième de la Poule B de Nationale 2.

Arrivée de Bernard Faure (St Julien les villas) et Nenad Kovacevic Int. junior (Orly) ; jouant sans Américain les matchs retours, nous redescendons en Nationale 3.

1989 : Premier de la Poule E de Nationale 3.

Arrivées en provenance du PUC de Pascal Gohier et Lionel Jarry. Nous remontons en Nationale 2, toujours avec Bernard Grosgeorges.

1990 : 11ème  de la poule B de Nationale 2 avec 11 victoires.

Arrivée de Thierry Cardin (Asnières) et Guillaume Bouzat (INSEP). Aprés un excellent parcours en début de saison, la blessure de Boby Wallace, un des meileurs américains de la SCC puis de son remplaçant Jerry Beck, et une malchance tenace dans les matchs retour, nous conduisent en N3. Bernard Grosgeorges jette l’éponge et passe le relais à Robert Gérard son ancien assistant.

La SCC organise un  tournoi au P.O.P.Bercy réunissant les quatre meilleures équipes françaises : ASVEL, Cholet, Pau-Orthez et CSP Limoges à l’occasion du 50ème anniversaire de la FSCF (féderation des patronnages) Objectif : rendre hommage à cette fédération affinitaire dont  elle est issue et se refaire une santé financière après une saison mouvementée ;

Hélas ! un nombre de spectateurs insuffisant et des dépenses mésestimées créent un déficit financier qui s’ajoute à celui de la saison écoulée.

1991 :4ème de la poule E de Nationale 3 avec 12 victoires ;

Malgré le renfort de deux intérieurs d’expérience : Mouchel (Levallois) et Duval (Berck), l’équipe placée dans la poule du Havre ne peut remonter. C’est une sévère déception car un effort financier important avait été consenti pour présenter une équipe compétitive. Conséquence : Le déficit cumulé atteint des proportions importantes ; malgré l’engagement de la Mairie et le comportement exemplaire et courageux du Président Pigelet, il faut réduire les charges.

1992 : 12ème de la poule D de Nationale 3 avec 5 victoires.

L’équipe est composée de jeunes espoirs du club encadrés par Philippe Jean-Louis (Coulommiers) et managés par Thierry Dudit ;  malgré les efforts de ces jeunes dont David Georges (Levallois) et Lamine Sonko, elle descend en Nationale 4.

1993 : 11ème de la poule F de Nationale 4 avec 5 victoires.

L’incorporation de jeunes cadets : Fredéric Veltin, Hugues Pigelet, Cyril Lemironet ne parvient pas à freiner la chute qui nous conduit en Excellence Région. Thierry Dudit passe le relais à Thierry Jardino entraîneur des Espoirs. Arrivée au Comité Directeur de Martine Mayeux, Yvonne Debonne et Gérard Schopfer ;

1994 : 8ème en Excellence Région

Malgré le renfort de Fréderic Bousson (2m08)(Maccabi) et Fréderic Longchamp (Vaulx en velin),        le retour d’ Eric Billon (2m05), et la présence de Lamine Sonko, l’équipe se maintient de justesse.

  

                                                               Histoire de la SCC / 1995 – 2005

1995 : 5ème en Excellence Région

 Gérard SCHOPFER est le nouveau président, il fait entrer Fabrice Canet au Cté Directeur et se sépare après quelques matchs de Thierry Jardino pour confier l’équipe à Djabri Sahraoui.

Autour de Fred Bousson, arrivée d’ Hervé Chambres, Stéphane Noiran, David Dahan...Un groupe se constitue au fil de la saison et termine à une honorable 5ème place. On a frôlé la descente aux enfers....

1996 : Champion d’Ile de France

Le club structure son encadrement autour d’Edith Patoret, un noyau de joueurs se reconstitue autour d’anciens de Sceaux : Hervé Chambres, Fred. Bousson, Stéphane Noiran, Didier Domat, Wilfrid Varlin, Jean-Marc Touzé, quelques juniors intègrent l’équipe : Yann Hérisson, Dominique Martin, Christian Chesneau, Fred Prajet.

Résultat : Titre de champion d’Ile de France (19 victoires/22) et montée en Nationale 4.

1997 : 2ème de la poule F de Nationale 4  (15 victoires/22): Nouvelle montée avec le retour au club de Philippe Jean-Louis. Djabri Sahraoui doit céder sa place faute du diplôme requis à l’échelon supérieur.

1998 : 10ème de la poule E de Nationale 3

L’année des regrets, l’arrivée d’ Olivier Ruiz  comme directeur technique du Club et coach de l’équipe. Malgré son expérience du haut niveau, et les renforts de Fredéric Lobry ( Int. Cadet), Grégory Halin (Rueil) et Didier Boussard (Coulommiers), l’objectif n’est pas atteint :  une des cinq premières places, synonyme d’ accession pour cause de refonte du championnat (Création d’une Nationale 1 et suppression de la Nationale 4) ;  néanmoins pour cette même raison, la relégation est évitée.

1999 : 9ème de la poule G de Nationale 3

Le Club grossit...David Paris,  animateur gestionnaire associatif est engagé en « emploi-jeune », Jérome Fournier reprend l’équipe assisté par Fabrice Canet ; arrêts de F.Bousson, Ph. J-Louis, W.Varlin, S.Noiran, G.Halin, faible recrutement, équipe vieillissante.... ... le retour au club de Johan Viviès (Poissy) et Hugues Pigelet, l’intégration de Grégory Morata ne suffisent pas à combattre une incroyable malchance qui nous renvoie en Excellence Région. Malgré 9 victoires, nous descendons à la différence de points...

2000 : 3ème en excellence Région

Le mauvais sort se retourne et nous remontons en Nationale avec 9 défaites à notre passif et une peu glorieuse 3ème place. Quelques nouvelles têtes font leur apparition : Thierry Bonsang, Anthony Dagnaud (Le Vésinet), Basir Mendy ou leur retour : Fréderic Veltin.

Nos Cadets entraînés par J. Fournier sont champions de 1ère division d’Ile de France et accèdent au championnat de France dans lequel sont également admis nos Minimes garçons entraînés par Greg. Morata

2001 : 5ème de la poule G de Nationale 3

Ce nouveau groupe, renforcé par Guillaume Rat et Victor Manyim (VGA), Thibaut Lestoille (Le Vésinet), Franck Louise (SCC2), et l’émergence de Cadets talentueux tels Gicquel Luse, Aubin Limo, Ansy Lema ou Gilles Chigard réalisent un excellent parcours. Le club compte 305 licenciés, nos structures se développent... Grégory Morata devient responsable technique et pédagogique en Emploi-jeune, ses Minimes terminent 5ème du groupe A. Les Cadets de Jérome Fournier accèdent à la 1ère division nationale.

2002 : 1er de la poule H de Nationale 3

Jérôme Fournier est nommé CTR dans la région Lyonnaise, il est remplacé pour l’équipe 1ère par Grégory Morata qui laisse les minimes à Grégoire Caruhel. La Saint-Charles explose.....370 licenciés et prend place dans les 20 premiers clubs français et les cinq premiers d’Ile-de-France.

Un excellent recrutement avec Thierry Ngui (Issy) et Christophe Pazik(Gif), associé à un parcours sérieux nous permet d’accéder à la Nationale 2 lors d’un match décisif contre Argenteuil à l’avant dernière journée. Après avoir éliminé Ormes en 1/8°, nous jouons les play-off ou nous échouons d’un point contre les canaris de Serre-Gaston. Les Cadets de M. El Hafidi jouent également les play-off pour le trophée du Président à Charenton et finissent 3ème du groupe B de 1ère division. Les Minimes échouent également d’un rien à l’issue d’un remarquable parcours.

2003 : 12ème de la poule D de Nationale 2

Grégory Morata retourne dans son Dauphiné natal, laisse sa place d’entraîneur à Bernard Faure, un ancien du club. Malgré un recrutement important : David Heaulme ex Pro B à Chalons-champagne, qui ne fait pas oublier Christophe Pazik parti en Anjou, Florian Lion (Charleville), Pierre Kaboré (PUC), Brice Bahlit (Bondy), mais à la mesure de nos moyens limités pour ce niveau de compétition semi-professionnel, nous prenons un départ catastrophique (1 victoire, 9 défaites) qui nous conduit à faire appel à Franck Velez,en décembre. Hélas, le bon parcours realisé dans cette deuxième partie (6 victoires, 10 défaites dont 3 en prolongation) et l’intégration de quelques cadets qui pointent le nez (Gautier Lemon, Issam Taam, Tom Brunet) ne permet pas d’éviter la 12ème place.

Notre effort de formation continue de porter ses fruits : Les Cadets atteignent le groupe A de 1ère division (seul club non professionnel à évoluer à ce niveau), les Minimes rejoignent aussi le groupe A; la réserve sénior masculine et l’ équipe sénior fille atteignent toutes deux l’Excellence région qualificatif au championnat de France !!!! Lionel Leblanc est le nouveau Responsable Technique.

2004 : 3° de la poule G

Le groupe éclate (les 4 nouveaux et deux anciens Johan Viviés qui rejoint Alfortville et Gicquel Luse qui part à Aix les bains, sans oublier Gautier Lemon qui tente sa chance en Espoir Pro A à Bourg) Grégoire Caruhel est investi d’une mission de reconstruction. Nos meilleurs cadets  se regroupent autour des deux Thierry Ngui & Bonsang et d’Aubin Limo; le groupe est completé par Satar Hassen, Patrice Grégoire, Maïk Ndoumbé, et réalise un parcours trés honorable, nos Cadets entrainés par Lionel Leblanc remportent la finale du championnat de France 1ère division Groupe B à Sablé (72), les Minimes entrainés par Stéphane Renoux finissent 3ème de leur poule dans le groupe A, la réserve Sénior conserve sa place en Excellence, mais les filles doivent repartir en Promo...

Avec 382 licenciés, le Club s’inscrit dans le Top 15 National et sur le podium francilien.

2005 : 1° de la poule G de Nationale 3

L’objectif proposé par Grégoire Caruhel la montée en Nationale 2 sur deux ans est atteint : Avec l’arrivée de deux intérieurs Alioune Pouyé (Tremblay) et Karim Reghaissia (Alfortville), l’intégration d’un jeune Cadet Souleymane Diabaté, et la promotion de  Marvyn Jno Baptiste (SM2) et David Carré (Rupella 3° muté) l’équipe réalise un excellent parcours et échoue en 1/8° de finale pour le titre contre Boulogne.

Les Cadets intègrent le Groupe A de 1ère division et disputent à nouveau les 1/8° de finale de Coupe de France contre LeMans

Les Minimes abordent les play off invaincus, mais un excès de confiance les font chuter lourdement au premier match du tournoi triangulaire du Cateau-Cambrésis contre Lille. La victoire sur Tours (futur champion de France) ne fera qu’aviver les regrets.

La réserve Sénior se maintient à nouveau en Excellence et les filles réintègrent le niveau départemental.

Deux titres régionaux : les Benjamins et les Minimes filles.

La St Charles compte désormais 399 licenciés et sa réputation de club formateur franchit largement les frontières franciliennes .

2006 : 10° de la poule C de Nationale 2

 

Enfin !! Depuis 1979 nous n’étions pas parvenus à nous maintenir à ce niveau de compétition…

Le maintien est assuré dés le mois de mars . Les renforts de Rully Séjor, Farid Haïf et Arturo Noha-Pascual, la contribution à ce niveau des – 21 ans :  Tom Brunet et Jihad Mahboub, la régularité de nos piliers Thierry Ngui et Satar Hassen, ont permis la réalisation de cet objectif. A noter la confirmation de Karim Reghaissia et David Carré à ce niveau.

 La reconnaissance que nous attendions depuis le début de cette merveilleuse aventure du Championnat de France de jeunes arrive avec un titre de "CHAMPION de FRANCE « Minimes »"

Après un tournoi triangulaire à Etrelles (53) où la qualification est acquise de justesse contre…Tours, nous abordons le final four avec une grande confiance et après l’élimination en fin de match d’une valeureuse et sympathique équipe du Stade Montois, nous survolons la finale, parfaitement maitrisée de bout en bout 83-60

Leur coach, Lionel Leblanc obtient ainsi un deuxième titre en trois ans.

Les Cadets se maintiennent en 1ère division, et l’équipe 2 est championne d’Ile de France, prouvant ainsi la richesse de nos effectifs dans cette catégorie.

L’arrivée d’un Manager Associatif : Christophe Daniel, chargé entre autre de la communication nous permet de franchir un nouveau palier.

Avec 415 licenciés, nous entrons dans le Top 10 des Clubs français.

2007 :

Germain FIDAMI est le nouvel entraîneur de l’équipe de Nationale 2, deux renforts intérieurs avec Christian Priso et Patrick Mbida, le retour d’Eliott Brunet formé au club après un passage à Reims, le noyau de l’équipe est conservé, trois jeunes issus des rangs Cadets sont intégrés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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